
Le 27 septembre dernier, l’Espace Doumandji célébrait son 20e anniversaire lors d’une soirée VIP. Au cours de l’événement, nous avons posé deux questions à diverses personnalités artistiques de tous les horizons.
Q1 : Qu’est-ce qui fait que vous avez une confiance aveugle en l’Espace Doumandji pour les soins de votre visage ?
Q2 : Étant donné que l’institut de beauté peut être considéré comme un acteur dans l’ombre dans une carrière d’une personnalité publique, nommez un « acteur dans l’ombre » qui vous a aidé à propulser votre carrière.
Fait à noter : La propriétaire de l’établissement (Farida Doumandji) est la mère de Narimane Doumandji. Cette dernière est à la tête de la célèbre boîte de relations de presse Communications Narimane. Celle-ci représente des artistes tels que Marc Dupré, Mario Pelchat, France D’Amour, Jonathan Roy, Denis Bouchard, André-Philippe Gagnon et plusieurs autres.
Marie-Soleil Dion
Q1 : C’est vraiment la qualité des soins autant Farida que tous les employés. Ce sont tous des spécialistes qui ont une super connaissance et une formation ainsi que du matériel et de l’équipement à la fine pointe de la technologie sans oublier d’excellents produits. L’approche est personnalisée. C’est-à-dire que si tu reçois des soins, tu n’auras pas les mêmes que moi. Les gens me demandent souvent ce qu’ils devraient prendre comme rendez-vous, je recommande de se faire évaluer afin de connaître les bons traitements. On prend le temps d’évaluer la peau de chacun et déterminer les problèmes qui pourraient apparaître avec le temps. Elles (les employés) font un plan de travail en fonction de chacune des personnes.
Q2 : Quand ma cohorte a fini l’école de théâtre, on devait tous passer une audition au Théâtre de Quat’Sous devant des agents, des producteurs et des metteurs en scène. Après avoir passé mon audition (en 2007), j’ai rencontré Suzanne Cormier dans un défunt bar (Au Diable Vert). J’avais 22 ans et elle en avait 25. Elle m’a demandé si elle voulait qu’on travaille ensemble. Elle était dans une autre agence à ce moment, je suis allée avec elle et on a commencé à travailler ensemble. Depuis, elle a lancé sa propre agence et je l’ai suivie. Ça fait 14 ans que je suis sorti de l’école et ça fait 14 ans que je travaille avec Suzanne. Je lui parle et je la texte tous les jours. Je lui parle la fin de semaine, le matin et le soir. Elle connaît mon horaire par cœur. Elle gère mon horaire, elle m’entend brailler et elle gère mes sentiments. Elle sait autant quand je vais chez le dentiste que quand je tourne un film. C’est vraiment une personne indispensable dans ma carrière au jour le jour.
Julie Perreault
Q2 : Je vois mon métier comme une collaboration. Avoir un mentor m’intimiderait trop. J’ai toujours abordé ça avec tellement de partenariat et de solidarité. J’ai fait beaucoup de projets avec Podz (réalisateur), mais c’était vraiment un échange entre nous. Il commençait et moi aussi. Il m’a offert des opportunités, mais on les a faits ensemble.
Geneviève Brouillette
Q1 : D’abord, on me l’a chaudement recommandé par des filles de l’industrie et des collègues. Je n’avais pas vu Myriam Leblanc durant un an ou deux, je la trouvais donc belle. Je lui ai demandé ce qu’elle faisait et elle m’a parlé du salon. Je me suis dit que j’irais voir moi aussi. Notre visage est notre instrument de travail, on doit en prendre soin peut-être plus que d’autres. Farida est tellement dévouée.
Q2 : Une carrière d’acteur, c’est parsemé de personnes comme ça. Les gens doivent embarquer et nous faire confiance sinon ça ne passera jamais. J’en ai beaucoup, j’ai que ça. Je les appelais mes anges et je me disais comment je ferais pour remettre l’appareil à ces personnes-là. Je me suis rendu compte qu’on ne peut pas remettre ça, mais tu le donnes à d’autres gens. La directrice de casting Lucie Robitaille m’a beaucoup aidé dans ma carrière. J’ai travaillé pour la défunte directrice de casting Louise Boisvert comme assistante. Je me souviens que quand j’avais des tournages, elle m’encourageait à y aller. Elle m’aidait à comprendre le métier et elle répondait à mes questions.
Benoît Gagnon
Q1 : Je suis un résident de Boucherville depuis 22 ans. Ça fait 20 ans que l’Espace Doumandji est ouvert. À cause de Narimane, j’ai rencontré sa mère. Je suis venu ici. Comme je suis un gars d’affaires, l’expérience client est super importante partout où je vais. Quand tu te sens bien quelque part, ça veut dire que les commerçants et les propriétaires du magasin ont bien fait la job et que tu t’es senti respecté et écouté. L’expérience globale est super importante et ici, c’est ça. J’ai des amis (gars et fille) qui sont venus faire des soins ici. Et à chaque fois, ils ont beaucoup trippé.
Q2 : Depuis longtemps, j’ai compris que pour être meilleur dans ce que je faisais, je devais être avec des gens qui sont bons dans ce qu’ils font. On a intérêt à se coller au talent et au savoir de gens qui sont meilleurs que nous. C’est la meilleure façon de s’améliorer. J’ai appris, il y a longtemps aussi, qu’il n’y a pas une question stupide. Si tu ne sais pas quelque chose et que tu ne poses jamais de questions, tu risques de les traîner avec toi. Je dors mieux sur mes oreilles le soir quand j’ai appris quelque chose dans la journée. Je me suis entouré tout le temps de ce genre de personnes autant en affaires qu’au niveau professionnel (radio et télévision). J’ai du respect pour l’expérience. Malheureusement, ça se perd beaucoup. Les jeunes d’aujourd’hui auraient intérêt à regarder ce qui s’est fait avant. Cela étant dit, je me rappelle quand je suis arrivé à Salut Bonjour qu’il y avait Guy Mongrain et Jacques Moisan qui étaient là et j’avais la chance de travailler avec eux. J’étais le petit nouveau et j’avais 60 ans d’expérience à deux devant moi. C’est comme un master class quotidien et je leur dois encore beaucoup. Je me sers de trucs qu’ils m’ont donnés dans le temps et de façon de travailler qu’ils m’ont montrés encore pas plus tard qu’à ma dernière animation à la radio. Soyez ouvert à l’expérience !
Étienne Drapeau
Q1 : Narimane est ma relationniste de presse depuis un bon moment. J’ai entendu beaucoup parler de l’Espace Doumandji, il y a plein d’artistes qui m’en ont parlé. Je n’ai pas encore eu la chance d’avoir les traitements, mais je promets que ça sera dans un avenir rapproché.
Q2 : Quand j’ai commencé dans l’industrie, Roger Tabra (parolier de Éric Lapointe, Isabelle Boulay, France D’Amour, etc. ) était un idole pour moi. Il était passé à l’Académie (après l’élimination d’Étienne) et il avait dit à tous les académiciens que sa porte était toujours ouverte pour eux. Il n’y avait personne qui avait pris l’invitation. Je suis littéralement le seul qui l’a pris aux mots parce que sa porte était littéralement ouverte. J’avais été quelques fois chez lui pour travailler ensemble sur des tounes. On a écrit mon premier #1 en carrière qui a été en nomination pour chanson de l’année à l’ADISQ (Je ne l’ai jamais dit à personne). En terme d’auteur, c’est lui qui m’a le plus appris. Il est un des plus grands de la francophonie. Tant qu’à moi, il est du même niveau que (Luc) Plamondon. C’est lui qui m’a appris le métier. J’écrivais déjà avant ma rencontre avec lui, mais il m’a aidé à structurer mes chansons. Il y a aussi Lynda Lemay, elle m’avait invité à chanter à L’Olympia de Paris. Je l’appréciais beaucoup, je la voyais comme une idole. Sans oublier, l’appui de mes parents. Mon père est mon gérant depuis deux ans. Il m’a tellement apporté et donné. Il a tellement travaillé fort.
Catherine Proulx-Lemay
Q1 : Avec le travail qu’on fait, on se fait beaucoup maquiller et en plus avec le masque… Je suis assez fan de traitement facial et d’exfoliation. Je suis assez curieuse d’essayer de nouveaux traitements. J’avoue que des soins du visage avec la job qu’on fait, ça fait beaucoup de bien.
Q2 : J’ai ma tante (Danielle Proulx) et mon cousin (Émile Proulx-Cloutier) qui sont dans le milieu. Quand j’ai décidé de faire mes auditions pour aller dans les écoles de théâtre, j’ai demandé à ma tante Danielle de me coacher pour faire mes auditions. Danielle n’avait jamais fait ça. Elle voulait m’aider, mais elle n’était pas sûre de pouvoir me conseiller. À l’époque, elle avait un conjoint qui faisait du coaching. Elle m’a coaché avec lui et ça a été comme une super belle rentrée en la matière. De faire mon entrée au Conservatoire d’art dramatique, il y avait comme quelque chose de symbolique de ce fait. Ce qui est le plus difficile dans notre métier, c’est de durer. Danielle a une carrière incroyable, sa carrière s’est bonifiée avec les années. En vieillissant, elle se fait offrir des rôles magnifiques. J’espère que je vais pouvoir durer aussi longtemps qu’elle, c’est aussi une inspiration dans ce sens.
Jean-François Baril
Q1 : On est venu quelquefois. On habite à Saint-Bruno. Ma blonde vient faire un tour à l’occasion. Je suis moins truc de beauté, mais j’aime bien la détente. Narimane et sa maman sont tellement gentilles que tu t’attaches vite.
Q2 : Marielle Léveillé (reine du Tupperware) m’a coaché à Jeune pour rire et elle m’a suivi par après à l’École nationale de l’humour et à mes débuts. À chaque projet, tu rencontres des gens qui t’influencent et qui t’encadrent. J’ai essayé de m’inspirer de tous les gens avec qui je travaillais. Je savais depuis un petit bout de temps que c’est ça que je voulais faire. À Caféine, je regardais Paul Rivard et Chantal Lacroix. À Énergie, je regardais Pierre Pagé comment il agissait. Ils ne m’ont pas pris de côté, c’était plus moi qui les regardais et qui essayais d’apprendre. Encore aujourd’hui, j’apprends avec Ève-Marie Lortie à Salut Bonjour.
André-Philippe Gagnon
Q1 : Je suis collaborateur avec Narimane depuis les Jeux olympiques de Vancouver (2010). Elle me parlait très souvent de sa maman, du fait qu’elle était très fière de sa mère. J’ai rencontré sa mère au cours de certaines activités. C’est une femme d’affaires qui a beaucoup de succès. Bientôt, je profiterais des bons soins que sa boutique offre.
Q2 : Yvon Deschamps, c’est certain. Il a influencé tellement de gens. Les gars des Cyniques (comme Jean-Guy Moreau) aussi, ils faisaient des imitations à l’époque.
Denis Bouchard
Q1 : Je suis un ami de longue date de la famille. Je ne suis pas un client, mais je vais le devenir. Je veux qu’on prenne soin de ma face. Je prends soin de tout, sauf de mon visage. Arrangez-moi ça! (rires)
Q2 : Il y a beaucoup de monde qui m’a aidé. Je ne suis pas rendu où je suis sans aide. Il y en a plusieurs qui sont malheureusement décédés. Marcel Sabourin en est un. Michel Garneau (décédé il y a quelques semaines) et Michelle Rossignol (décédée l’année dernière). Les professeurs que j’ai eus à l’École nationale de théâtre ont été excessivement importants dans ma vie.
France D’Amour
Q1 : Ma sœur est esthéticienne depuis toujours. J’ai sorti une ligne de cosmétiques, il y a quelques années. Narimane, c’est mon attachée de presse. 20 ans pour un institut d’esthétisme, il faut le faire. C’est tellement compétitif ce milieu-là. Me faire masser les mains, c’est ce que j’aime le plus dans un service de massothérapie. Je joue beaucoup de guitare, j’ai les muscles endoloris.
Q2 : Tous les artistes que j’ai écoutés quand j’étais jeune m’ont inspiré et donné envie de faire ça. Des artistes comme Jonni Mitchell, Serge Fiori et Offenbach ne m’ont pas juste donné le goût de faire de la musique, ils m’ont donné la permission de le faire. Ils m’ont dit qu’il y a une façon de s’exprimer et que je pouvais le faire. C’était comme mon passeport pour pouvoir vivre de ma musique et en faire un métier. Ces artistes-là m’ont vraiment inspiré, mais aussi aidé à faire ce que j’aime le plus au monde.
Richard Turcotte
Q1 : Regarde la mère, regarde la fille, tu n’as pas le choix d’acheter des crèmes ici (rires). Plus sérieusement, je suis client et j’aime beaucoup le service. Elles sont très consciencieuses et le service est très personnalisé comme tout le monde a un type de peau différent. Elles sont vraiment au petit soin pour savoir à quoi ressemble ta peau et déterminer ce qu’on peut faire avec en date d’aujourd’hui.
Q2 : Dans ce métier, tu apprends de tout le monde. Quand tu t’inspires de gens autour de toi, c’est la preuve que tu n’es pas au sommet de ton art. Et moi, je veux toujours continuer d’avancer et de grandir. Alors, je m’inspire quotidiennement de plein de gens.
Mathieu Baron
Q2 : Il y en a beaucoup qui m’ont donné une chance et leur confiance. Je suis super chanceux, je suis super bien entouré et plusieurs personnes m’ont aidé. Ce qui fait en sorte qu’aujourd’hui, je suis capable de gagner ma vie en faisant ce que j’aime. Je me suis formé et j’ai suivi des ateliers. Après ça, j’ai eu de petits rôles à petits rôles. À chaque plateau que je vais, j’essaie toujours d’apprendre de quoi.
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