
Ce jeudi à 20h, sur les ondes d’ICI Télé, débutera la nouvelle émission de variétés Zénith, qui marquera le retour de Véronique Cloutier à l’animation d’une émission musicale en direct. Chaque semaine, des artistes issus de quatre génération (Boomers, X, Y, Z) monteront un numéro bien spécial dans le but de séduire l’ensemble des générations. Le public en studio, appuyé par les capitaines, notera chaque prestation. Il sera également possible de voter directement de votre salon. Nous avons visité le plateau de cette émission très attendue.
Véronique Cloutier, animatrice


Participants et participantes de la première émission

Lunou Zucchini – Génération Z
Qu’est-ce qui t’a attirée vers le concept de Zénith ?
Que ce soit un nouveau concept, premièrement! Que ce soit du direct, aussi. Il y a quelque chose de super effervescent, le fun, excitant! Le fait qu’on ait une carte blanche, aussi. Ils nous disent vraiment : « OK, c’est quoi ton idée ? On va t’aider à la développer! » C’est comme un travail d’équipe avec tous les artisans du show, mais ça part de nous; ça part de notre idée. C’est vraiment le fun!
Est-ce qu’il y a une facette insoupçonnée de toi que les gens pourront découvrir dans l’émission ?
Bonne question… Je ne sais pas. Il y aura peut-être quelque chose d’un peu surprenant, oui, dans le numéro. On commence quelque part et on finit complètement ailleurs. J’avais plus envie d’aller dans quelque chose d’un peu plus éclaté que des choses plus sobres, que j’ai l’habitude de faire. On va être très loin de ce que j’ai fait à Star Académie.
Sans trop en dire, comment penses-tu être capable de séduire toutes les générations ?
Bonne question aussi (rires)! Je pense que je vais les séduire parce que je suis allée avec un choix de chanson, avec une chanteuse qui, je crois, est dans l’air du temps, et qui plaît donc autant aux boomers qu’aux générations plus jeunes comme la Z. Je suis allée avec une chanson qui est plus de l’époque des boomers, mais avec une mise en scène qui va peut-être faire plus Z, mettons!



Jason Roy Léveillée – Génération Y
Qu’est-ce qui t’a attiré vers le concept de Zénith ?
Ah mon dieu! Bon, c’est sûr que, moi, je suis un trippeux de live. Premièrement, j’ai eu un groupe de musique, Les Brothers. C’était le fun d’être sur scène, de faire de la tournée, le trip de gang aussi, le groupe de musique. J’adore chanter live avec un band, jammer, être sur scène… J’avoue que je suis un accro d’adrénaline un peu, aussi. Des fois, ça se transforme en saut en parachute ou peu importe, mais là, ça adonne que ça va être Zénith, et je suis vraiment content, pour vrai. C’est une belle équipe. Et j’ai tellement été agréablement surpris de la liberté qu’on a, aussi, pour créer le numéro, tu sais, tant au niveau des idées, de la chorégraphie, du concept de la chanson, de comment on fait évoluer la chanson, aussi. Tu peux prendre une toune très connue et la changer de style, l’adapter comme tu veux. Ça, c’est vraiment cool! En plus, c’est un show de Véronique Cloutier, donc ça va marcher, comme on dit (rires)!
Est-ce qu’il y a une facette insoupçonnée de toi que les gens pourront découvrir dans l’émission ?
J’ai l’impression que ce n’est pas tout le monde encore qui sait que je chante et que j’aime la scène, donc peut-être qu’il y a plusieurs personnes qui vont me découvrir comme ça parce que peut-être que les gens me connaissent plus comme comédien. Sinon, je pense que j’aime danser, aussi. J’ai essayé d’intégrer des chorégraphies, aussi, avec les danseurs. Je voulais danser aussi; je ne voulais pas juste chanter et qu’ils dansent à côté. Je veux faire des moves (rires)! Ça va être le fun aussi, c’est un beau défi, de chanter et danser en même temps.
Sans trop en dire, comment penses-tu être capable de séduire toutes les générations ?
C’est ça qui est le plus dur, en fait (rires)! Je pense que c’est justement de choisir une chanson qui marque peut-être plus une génération, par exemple les plus vieux, mais la transformer avec un style pour aller chercher les jeunes. C’est au niveau de la créativité, de la mise en scène. Essayer d’y aller large. En vrai, on y va au feeling et on s’amuse!


Jean-François Breau – Génération X
Qu’est-ce qui t’a attiré vers le concept de Zénith ?
Au début, mon réalisateur préféré « Chico », Alain Chicoine, m’a appelé. Alain était le réalisateur sur C’est ma toune, l’émission qu’on a faite ensemble, Marie-Ève [Janvier] et moi. C’est un chum! Il m’a appelé et m’a dit qu’il voulait que je fasse partie de l’émission. Au début, je lui ai dit : « Attends-toi, tu veux faire compétitionner des chanteurs professionnels ensemble ? » Je n’étais pas sûr! Il m’a dit que l’accent ne serait pas mis là-dessus. C’est une équipe que ça fait longtemps que je connais, donc je leur faisais confiance au départ. Donc, quand il a fallu monter notre numéro, ils ont été fidèles à leurs paroles, c’est-à-dire que j’ai eu une liberté pour choisir la chanson que je voulais et ils ont monté le numéro de production avec moi. Je pouvais tout décider (rires)! Ça, ça m’a séduit beaucoup. Finalement, la personne qui gagne, c’est un prétexte pour produire quatre grands numéros de production devant plusieurs générations de personnes. Et l’idée, c’est de choisir et la chanson, et le style, et la surprise pour plaire à tout ce monde-là. Ça, ça me plaît! J’ai pris ça comme un défi et je me suis amusé là-dedans avec eux autres. C’est quelque chose qui, je pense, va être une belle surprise! Je ne suis pas censé chanter ça, moi, dans la vie. Ça me plaît, l’idée d’essayer de créer une surprise, de prendre une chanson et de l’amener complètement ailleurs. Ça, c’est l’ADN de l’émission, et ç’a fait que j’ai sauté là-dedans à pieds joints!
Est-ce qu’il y a une facette insoupçonnée de toi que les gens pourront découvrir dans l’émission ?
J’espère (rires)! J’ai passé les dernières années de ma vie à mettre de l’avant le fait que je peux chanter toutes sortes d’affaires, mais je pense qu’on pousse la ligne un peu plus. Oui, oui!
Sans trop en dire, comment penses-tu être capable de séduire toutes les générations ?
Ah, le plus grand sourire possible (rires)! Je ne sais pas, en fait. On n’a pas la clé là-dessus, mais je pense que, le secret, c’est la surprise. Je pense que c’est l’authenticité; qu’on ne reconnaisse pas la chanson, mais qu’on reconnaisse un style, qu’on ne reconnaisse pas le style, mais qu’on reconnaisse les paroles d’une chanson qu’on écoute dans nos playlists. Qu’on fasse : « Hey, c’est original, ça! C’est bon! » C’est là-dessus, je pense, qu’on peut avoir des points.


Johanne Blouin – Génération des Boomers
Qu’est-ce qui vous a attirée vers le concept de Zénith ?
C’est une première; c’est un nouveau concept. En plus de ça, je suis contente d’être sur le premier show. Ça va être le fun. D’abord et avant tout, il faut avoir du fun. Il faut performer aussi, et ça nous donne l’occasion de faire des choses qu’on ne pourrait pas faire autrement.
Est-ce qu’il y a une facette insoupçonnée de vous que les gens pourront découvrir dans l’émission ?
Oui, mais ce n’est pas quelque chose qui est complètement à gauche de ce que j’ai l’habitude de faire. Je pense que je ne ferai pas trop de chorégraphies; ce n’est pas mon point fort (rires). On va axer ça sur la voix. Mais c’est dans les arrangements. On a travaillé fort. J’ai eu un flash pour amener un élément dans l’arrangement qui fait que c’est juste correct. Ça fait un clin d’œil, mais ce n’est pas trop loin de moi non plus.
Sans trop en dire, comment pensez-vous être capable de séduire toutes les générations ?
Je pense que, dans n’importe quelle situation, le plus important, c’est l’authenticité. Être authentique et être bien dans ce qu’on fait. Je pense que ça, c’est important, même si les jeunes ne connaîtront peut-être pas la chanson… Mais peut-être que oui parce qu’elle a été reprise plusieurs fois. Là, j’arrête d’en parler (rires)! Même quelqu’un qui ne connaît pas la chanson va pouvoir dire : « Oh, wow! »


À la rencontre des capitaines des deux générations les plus éloignées


Claudia Bouvette – Génération Z
Qu’est-ce qui t’a attirée vers le concept de Zénith ?
Il faut être fou pour refuser (rires)! Il faut être fou pour refuser Véro, premièrement. Au premier meeting que j’ai eu avec l’équipe de prod avant d’accepter, j’ai trouvé que tout le monde était tellement emballé! Je voyais les étoiles dans les yeux de l’équipe de prod. Vraiment, l’espèce de folie contagieuse a rendu ça simple pour moi, de dire oui, honnêtement! C’est un honneur, aussi, qu’on m’offre le rôle de la représentante d’une génération. C’est la première fois que je me trouve dans cette position-là, un rôle qui est un peu plus en termes d’animation. Pour moi, c’était comme plein de nouveaux défis, puis avec une équipe technique de la mort! Tous mes amis qui partagent les autres générations sont des gens que j’adore, que j’aime profondément. Je devais le faire!
Comment vois-tu ton rôle de capitaine ?
Je trouve ça trippant qu’on puisse partager notre gradin avec 24 autres jeunes dans mon cas, 24 autres personnes de notre génération, et que tout au long de la saison, c’est avec eux qu’on partage nos opinions. C’est spécial; c’est comme du jamais vu. Habituellement, c’est un public qui est en retrait, mais là, le public participe. Moi, mon rôle en tant que porte-parole, ça va être de rapporter les informations, puis de parler au nom de ma gang. On ne se connaît pas encore, mais au fil des semaines, on va développer des relations, donc ça va être vraiment intéressant!
Est-ce qu’il y a une facette insoupçonnée de toi que les gens pourront découvrir dans l’émission ?
Je m’attends à être surprise tout au long… Ça m’excite tellement, ce projet-là, que je pense que je vais être super expressive. Je ne sais pas si j’ai déjà dévoilé cette facette-là de ma personnalité, être expressive, mais là, je vais être extra expressive, je pense!



Normand Brathwaite – Génération des Boomers
Qu’est-ce qui vous a attiré vers le concept de Zénith ?
C’est un peu naturel. C’est un gros show de variété. C’est du monde que je connais; ce n’est pas comme si une compagnie de production venait me chercher et que je ne connaissais personne. Je connais Louis, je connais très bien Véro. La plupart des artistes qui vont venir à l’émission sont des artistes que je connais. Ça va être plaisant!
Comment voyez-vous votre rôle de capitaine ?
Toute l’idée de ce show-là, c’est du plaisir. Moi, je vais être comme le porte-parole d’une gang et essayer d’expliquer, par exemple, si on donne une note plus faible, pourquoi on le fait, et demander à l’artiste s’il veut faire autre chose pour essayer de marquer plus de points.
Est-ce qu’il y a une facette insoupçonnée de vous que les gens pourront découvrir dans l’émission ?
Je ne sais pas! Je ne me sens pas boomer, donc on verra bien!


Élyse Marquis & Félix-Antoine Tremblay



Veuillez noter que, en raison des droits musicaux, l’émission ne sera pas disponible en rattrapage. Il vous faudra donc programmer votre enregistreur si vous n’êtes pas en mesure de l’écouter en direct.
Photos du studio et de la production









Photos en bonus



Samuelle Guimond | Journaliste
Samuelle est une passionnée de musique, de littérature, de télé et de théâtre. Si elle est journaliste pour le média, c’est dans le but de faire briller des artistes d’ici en qui elle croit, principalement à travers des entrevues. Tu pourrais très bien la croiser dans une salle de spectacle aux environs de Montréal!

Frédéric Lebeuf | Photographe
Grand passionné de musique rock, metal, metalcore et post-hardcore, Frédéric adore assister à des concerts de ses artistes préférés qui gravitent autour de son palmarès hebdomadaire. Passionné de lifestyle et de télévision, il reste à l’affût pour couvrir des événements de tout genre. Son premier album qu’il a acheté est Americana de The Offspring.
2 thoughts on “Zénith: une émission pour rassembler toutes les générations!”