Rosalie Boulanger 
Les Cowboys Fringants étaient très attendus par le public du Centre Vidéotron, malgré qu’ils aient déjà présenté leur spectacle les 16 et 17 avril derniers dans la vieille capitale. On pouvait entendre la foule hurler et applaudir avant même leur entrée sur la scène.
La soirée a commencé en force avec la pièce Les maisons toutes pareilles, tirée de l’album Les Antipodes, sorti en 2019. Certains spectateurs moins gênés dans les gradins se sont immédiatement levés au son des premières notes pour danser et chanter. On pouvait sentir l’excitation et la joie des fans, déjà comblés.
Le spectacle s’est continué avec Bye Bye Lou, Ti-Cul, et La Reine, durant laquelle le guitariste, bassiste et animateur de foule Jérôme Dupras se faisait un plaisir de faire lever le party dans l’audience.
Nostalgie
Le chanteur Karl Tremblay a poursuivi en rappelant à la foule que la chanson Toune d’automne était LA pièce qui avait permis au groupe de se sortir de leur coin de pays et qui les avait menés jusqu’ici. La foule a chanté en chœur chacune des paroles de cette populaire pièce. L’admiration et l’amour du public étaient palpables.
Célébration
Durant la soirée, nous avons également eu la chance d’entendre certaines demandes spéciales du public. Une certaine Marianne, qui célébrait ses 18 ans, a aussi eu le bonheur de se faire chanter Bonne fête par l’amphithéâtre au complet.
Fin de soirée magique
En rappel, Les Cowboys Fringants n’y sont pas allés de main morte. Ils sont remontés sur scène avec Le shack à Hector, pendant laquelle les fans en première rangée se sont vus remettre des verres de bière. Les chanceux ont donc pu lever leur verre à cette belle soirée qui s’achevait. Marine marchande et Les étoiles filantes ont conclu le concert.
Première partie
Marie-Annick Lépine, la multi-instrumentiste des Cowboys Fringants a eu le plaisir de débuter la soirée. Accueillie très chaleureusement, l’artiste nous a entre autres présenté Les cheveux gras, Tu veux rester et Le monde est beau pis laid. Elle a choisi de conclure avec Toujours partir, dont les airs me rappelaient ceux des Sœurs Boulay.
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